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Bonjour tristesse |
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Réalisateur : Otto Preminger ( D' après Sagan) Usa - 1958 Genre : Drame |
7/10 |
Commentaire Sur la côte d' azur, les vacances d' été d' une fille de 17 ans avec son père, grand bourgeois volage, et la jeune maitresse officielle de celui-ci. une ancienne amie de sa mère décèdée arrive. La défaite de la légereté. Fêtes, soleil, farniente. Un désir de légereté, d' insousciance. Un désir d' échapper aux pesanteurs du monde, l 'illusion d' y parvenir. un désir de détachement. Un désir individualiste de liberté, de plaisir. L' arrivée de la gravité dans ce monde, qui revelle a la legereté ses insuffisances, son absurdité, son amoralisme, ses noirceurs, sa cruauté ( relevée par la cruauté de l' âge ). La résistance de la legereté, sa lutte pour rester indomptée. L' opposition systématique de la gravité et de la legereté et l' impossibilité de les disjoindre. La gravité se constituant en essayant de dompter la legereté. La legereté se constituant en essayant d' échapper à la gravité. Sans être capable ni l' une ni l' autre, de réussir. La tristesse comme sentiment de cette défaite. Une adaptation qui n' arrive pas à la cheville du livre. Thèmes Bourgeoisie, frivolité, vacances à la mer, complicité père/fille, amour de vacances, fête, libération des moeurs, farniente, flirt, insouciance, complot, cote d' azur, paresse, egoisme, belle mère, ivresse,amusement, mauvaise conscience, intrigante, jalousie, desir sexuel feminin, depucelage, vieux beau, espieglerie, cruauté, vacances, courtisane, legereté, gravité, individualisme, amoralisme, tristesse, adaptation. |
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Lieu
Côte d' azur Epoque 1958 Difficulté 2/5 |
Acteurs
Deborah Kerr : Anne Larson
David Niven : Raymond Jean Seberg : Cécile Mylène Demongeot : Elsa Geoffrey Horne : Philippe Juliette Gréco : elle-même
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